Les conditions anciennes ont assujetti les femmes a la reproduction et ce faisant leur ont soit interdit le bonheur soit lie ce bonheur a la penetration, au coit fecondateur.
Ne revenons nullement sur ces moment et ces codes qui ont sans doute eux leurs raisons ( et qui en tous cas ont permis que nous soyons en vie et non une race eteinte ) mais les esprits doivent remplacer. En consequence, la deuxieme chose importante est que ces dames n’ont aucun peine a obtenir un orgasme et qu’elles savent tout i fait ( et ont toujours su ) l’obtenir en se stimulant. C’est l’opinion - souvent masculine - qui voulait que le seul orgasme digne de ce nom soit vaginal et du a la penetration et qui interdisait une stimulation clitoridienne, surtout pendant l’acte sexuel avec le mari. Longtemps ces dames ont ete considerees comme « immatures » ou pire si elles avaient besoin d’une stimulation clitoridienne Afin de un joie. Devenir une copine adulte signifiait devenir capable d’avoir du ravissement juste par la penetration, le coit. Il ne s’agit aucune penser non plus que J'ai stimulation clitoridienne devra i?tre maintenant le seul mode d’orgasme feminin mais qu’elle devra etre reconnue a part entiere. Notre conception ordinaire en sexualite, la penetration suivie d’une ejaculation, penalisait et penalise toujours ces dames parce que, si l’homme etait bien stimule puisque son organe le plus sensible etait aussi stimule par l’acte sexuel, ces dames n’etaient jamais excitees puisque, pour elles, la stimulation devra se produire a 1 autre endroit. On jugeait deplace qu’une soeur ait recours a une propre stimulation en presence de son partenaire, tel si c’etait insultant pour l’homme qui n’aurait pas suffira. La troisieme idee a retenir reste donc juste que, pour la majorite des jeunes femmes, le coit en lui meme ne conduit nullement a l’orgasme et ne suffira jamais a initier le joie. La consequence de l'ensemble de ces premisses est la rehabilitation complete une masturbation. L’idee ancienne que toute sexualite qui ne conduit gui?re au noble effort procreateur est egocentrique et narcissique reste perimee, enterree, abandonnee. Se masturber, Afin de votre homme comme pour une copine, est votre droit qui appartient a chacun, un moyen de s’exprimer ainsi que se temoigner soi-meme son amour. C’est une saine relation a son corps, votre n’est gui?re etre egoiste, ni immature. Cela s’agir d’ une activite normale qui se doit de logiquement avoir sa place dans l'existence de l'ensemble des femmes. L’apprentissage du plaisir des femmes passe par la decouverte ou redecouverte d'une masturbation et surtout par l’acceptation par vous, le mari, de une telle stimulation complementaire mais fondamentale Vous, homme, etes stimule, excite par le contact ou nos caresses directes sur votre penis, vous devez ainsi la stimuler ou l’aider ou la laisser se stimuler celle-ci meme par nos caresses sur le clitoris (ou la zone attenante ). Cette attitude reciproque, egalitaire permet de remettre beaucoup des trucs en place. Vous avez besoin d’avoir confiance en celle-ci Afin de vous abandonner a Notre jouissance. Mais elle aussi a besoin de preuves de tendresse, d’affection, de marques d’attention. Elle a totalement besoin de confiance, de partage, d’etre informe de ce que vous voulez. Si i§a a confiance en vous, profondement, elle peut se laisser aller et le orgasme va i?tre reel et profond. Nous parlons de complicite sensuelle et sexuelle. Prenez du temps ensemble, reservez ce https://datingmentor.org/fr/matchocean-review/ temps, soyez accessibles ensemble. Parlez de votre que vous allez Realiser et ensuite de votre que vous avez fait . Exprimez vous ! Soyez attentif a l’autre, ecoutez le. Interrogez vous via toutes vos sensations.
Un bon amant sait que le erection n’est gui?re J'ai cause de l’orgasme feminin. Dans un ratio equilibre et d’une certaine longueur, c'est tout i fait normal de bander ET de debander, d’etre excite ET moins excite.
C’est l’ensemble des caresses, des baisers, Plusieurs contacts des deux corps et des deux sexes qui provoquent la jouissance. Et c’est surtout la confiance et la profondeur des relations qui peuvent permettre, a l’un tel a l’autre, de vivre vraiment le bonheur